vendredi 23 avril 2010

Chapitre IV : Un bref repos

La suite comme prévu





Chapitre IV : Un bref repos

Julie se reveilla difficilement, les douleurs étaient encore présente elle sentait toutes les traces laissées sur son corps.
Julie se redressa et s'assit contre le mur sans trop s'appuyer la douleur était encore plus vive mais le mur froid la soulagé un peu, elle s'aperçu aussi qu'elle n'arrivaient pas à resseré les jambes la douleur dans l'entre cuisse etait top forte.
Quand elle reprit un peu plus ces esprits elle entendit du bruit dans la cellule comme des gémissement.
"il y a quelqu'un ?" chuchota-t-elle
"Oui, moi"  entendit Julie
Julie reconnaissa la voix !
"Maria c'est toi ?"
"Julie ?"
"Oui ça y est tu as comparu ?"
"oui et j'ai été reconnu coupable ! et toi je pense que oui aussi sinon tu serais pas ici !  qu'elle a était ton chatiment corporelle"
"Oh mon dieu rien que d'y penser je ne sais pas comment j'ai survécu ! 10 coups de fouet dans le dos 20 sur les seins et enfin 10 coups de cravache sur le con et il a pas loupé mon trou du cul ! et toi ?"
"Pour moi ça a été plus sévère 15 coups de fouet dans le dos et 30 sur le sein pas de cravache sur le con mais une torture electrique ils ont fixé deux pinces sur mes levres et sur le bout de mes seins et le bourreau ma passé sur le corps une éponge mouillé rélié à une batterie, les premiers décharges ont été supportable de leger picottement mais les dernières fut terrible je sentais passé le courant dans tout mon corps et je le pouvais pas me contrôler je me suis pissé dessus  et vidé mes instestins aussi !"
"Oh mon dieu je peux être content de mon sort alors !"
"Oui mais je pense que nous avons pas fini de souffrir! déjà le marquage au fer rouge va être plus que douloreux"
"Oh oui mon dieu"
"Tu vas où sinon Julie ? moi je suis expédié au soit disant centre réducation de BelleExcla"
"Ah oui moi aussi nous avons de grande chance de rester ensemble"
"Oui ça me reconvorte un peu de ne pas être seul"

D'autres bruits se fit entre dans la piece, Julie chercha de la main et trouva une autre personne sur le sol !
"Je touche une personne ici" dit Julie
"Oui moi aussi, il fait tellement noir on ne peut les voir" repondit Maria
"Elles semblent encore évahnouit laissons les, j'ai le clitoris en feu avec les coups répété du bourreau"
"Essaye de le mouillé avec ta salive ça va te soulagé"
"oui bonne idée mais j'ai la gorge seche"

Soudain 3 Grands coups furent donnés dans la porte  "silence les putes, où l'on va faire votre fête"

les deux filles se turent, quelques minutes plus tard les deux autres filles se reprirent connaissance, elles se regroupèrent au fond de la cellule et parla ensemble d'une voix a peine audible les 2 autres filles s'appelaint janice 23 ans condamné
pour manifestion d'idée contre le gouvernement et notamment le droit des femmes et michelle 32 ans condamné pour adultère qu'elle nit avoir fait.

Soudain un bruit de clé se fit entendre, et on entendit le verrou de la porte s'ouvrir, la porte s'ouvra et les filles fuent éblouies par la lumière, progressivement une silhouette apparaissait.

L'homme poussa un rire !
"Ah mais nous avons 4 belles gouinnes ici !"
Les filles semblaient pétrifiés de peur.
"N'ayez pas peur mes petites nouvelles esclaves je suis juste là pour vous marquer au fer rouge"
Les fille n'en croyait pas leurs oreilles.
"c'est vrai vous aurez mal mais vous ne pouvez y échapper alors soit vous vous resignez ou cela sera encore plus pénible"
L'homme jeta des chaines par terre devant elle.
"bon mettez vos chaines, menottes aux chevilles et mains devant"
Les filles prirent chacun une des chaines et fixèrent les mennotes la chaine qui relié les deux paires était plus coute que d'habitude 50-70 cm à vue d'oeil
"Bon parfait debout maintenant et suivez moi"
Les filles eurent toutes les peines du monde à se le lever, et une fois debout outre les traces de fouets qui les faisaient atrocement souffrir.
La chaine etant courte elles ne pouvaient pas se tenir bien droite.
Elles suivèrent tant bien que mal leur nouveau tortionnaire à l'air joviale. ils parcoururirent un dédale de couloirs avant d'arriver devant une salle ou sur la porte on pouvait y lire "Salle de marquage", rien qu'à lire l'inscription cela leur faisait froid dans le dos et bientôt surement chaud au cul.

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