mardi 20 avril 2010

Chapitre III : Le jugement de RS-5673

Chapitre III : Le jugement de RS-5673


Chapitre III : Le jugement de RS-5673

Julie fut détachée du mur et elle suivit le gardien sans résister.
Elle rentra dans le tribunal par la porte arrière du tribunal, un brouhaha régnait dans le tribunal. IL était en bois avec un aspect assez ancien, le président de la séance n'était pas encore arrivé derrière son siège il y avait un grand tableau où l'on pouvez voir des femmes se faire torturer sur une grande place. La salle était pleine il devait il y avoir au bas mot 200 personnes réparti sur deux niveaux, s'agit il d'un tribunal ou d'un spectacle. Sur la droite on pouvez y voir toutes sortes d'objets inquiétant : des fouets de différentes tailles, des paddles. !

il y avait aussi un grand portique métallique ou des chaînes étaient disposé à chaque coin ! Julie comprit aussitôt qu'il s'agissait du système où elle sera probablement attaché pour recevoir le châtiment, Julie fut conduite dans le boxe des accusés pas de chaise elle devait resté debout, elle vit s'installé derrière le bureau de l'accusation son mari et plus surprenant marc son amant. Ils discutaient ensemble et ne semblaient pas en froid.

Le président entra, la salle se tue aussitôt tout le monde était debout.
"vous pouvez vous asseoir ! je vais vous lire les chefs d'inculpation. Matricule RS-5673, vous êtes accusé d'adultère j'ai entre mes mains deux témoignages un de votre mari et un de votre amant marc, Matricule RS-5673 reconnaissait vous les faits"
"Oui" dit d'une voix roque Julie "Parfait nous gagnerons du temps ! avez vous quelques
choses à rajouter pour votre défense"
"Je voudrais juste dire que je suis désolé, je ne pensais pas faire mal mon mari et moi allons souvent chez marc et sa femme pour faire es parties à 4, et mon mari m'avait dit que je devais toujours obéir à marc quand il en avait envie et quand il est venu hier il m'a dit que Jean, mon mari, était d'accord."

"parfait, votre temps de parole est terminé, l'accusation veut prendre la parole"
"Oui votre honneur, Julie est une petite salope qui a trompé ma confiance croyez vous que si j'avais donné l'autorisation que nous serions là elle essaye juste de le décribilisé !"

"NON C'EST FAUX" cria Julie

"Silence accusé ! vous n'avez plus la parole Garde bâillonné là" s'exclama le président

Aussitôt 2 gardes attrapèrent Julie et la bâillonna avec un bâillon à boule rouge.
"L'accusation veut elle rajouter quelques choses ? avant le verdict"
"Non votre honneur"
"Parfait apporté l'accusé en position pour recevoir la sentence"
Julie fut mise à genoux face au président
"RS-5673 je vous déclare coupable d'adultère aggravé, ainsi je vous retire le statut de femme libre vous serez esclave jusqu'à la fin de votre vie, vous irez passé une séjour au centre de éducation sexuelle et de servitude de BelleExcla, quand le centre vous considéra comme prête vous serez vendu comme esclave sexuelle au marché de la capitale. En outre le tribunal rompt le mariage qui vous liait à Jean."

Puis le président regarda Julie d'un oeil inquiétant

"Le tribunal vous condamne aussi à un châtiment corporelle exemplaire compte tenu des mensonges et de votre attitude dans le tribunal et l'irrespectualité que vous avez dégagé, ainsi devant l'assistance vous recevrez le fouet sur votre dos, 10 coups ! le même fouet sur vos seins, 20 coups ! et enfin la cravache sur votre entrejambe 10 coups ! Vous serez dans la journée marqué au fer rouge votre matricule sur la fesse droite comme la loi l'exige et sur la fesse gauche du signe de votre fauteà savoir un A majuscule pour Adultère 
Est ce que l'accusation préfère que RS-5673 soit bâillonné ou non pour la sentence ?"
"Qu'elle reste bâillonné, votre honneur nous avons assez entendu cette esclave"
"très bien que la sentence commence"

Julie n'en croyez pas ces oreilles elle ne pensait pas qu'elle allait devenir esclave puni certes mais elle garder un mince espoir de redevenir libre.
elle se rendit enfin réellement compte de sa situation ou elle était :
"Esclave à vie !" ces mots résonnés dans sa tête quand les gardes la relevère elle se débâta criant dans son bâillon on pouvait y distinguer les mots "pitié", "non", "pas ça" malgré le bâillon!!!

Les gardes l'amena jusqu'au "carré métallique" il commencère par lui enlevé les menottes des mains et à deux lui fixer pour les fixer aux angles supérieures puis ces chevilles vu libéré elle se débâta remuant des pieds dans tout les sens mais il est trop les gardiens sont trop fort. elle ne pouvait plus bouger, Julie était fasse au publique elle voyez son mari en face d'elle qui riaient avec marc, elle compris que leurs traquenards avait bien fonctionné et que désormais il s'était débarrassé d'elle. Les jambes écartait ainsi écarté la robe ne couvrez plus son sexe il était béant et tout le monde regardé son corps

Le bourreau s'approcha d'elle et la fixa dans les yeux, il lui dit à voix basse
"je vais te faire hurler"
puis d'un geste brusque il déchira le vêtement qu'elle portait, les personnes dans l'assemblé semblait fasciner par son corps et ce qu'elle allait subir devant eux resté silencieux.
Le bourreau enleva le loquet qui permet de faire pivoter verticalement l'ensemble ainsi elle se retrouvait dos au public le bourreau passa devant elle et pris sur la table un fouet assez grand, il passa derrière Julie et fit claquer le fouet par terre Julie sursauta. Le bourreau se tourna vers le juge celui fit un hochement de la tête comme quoi il pouvait commencer. Il pris un grand élan et fouetta la pauvre Julie avec une violence extrême. Julie hurla à travers son bâillon sur sa peau on pouvait voir la trace rouge vif du fouet sur sa peau.

Le bourreau pris un temps d'arrêt, laissant à Julie le temps de reprendre ses esprits. Le deuxième coups s'abattit sur elle. Julie pleurer de douleur et implorer la pitié en regardant le président ce qui sembla l'amuser. Le troisième coups , puis le 4ème 5ème ... le bourreau s'arrêta pour vérifier que la condamné était bien éveiller. Il repassa derrière et continua sa sombre besogne 6,7,8... le dos et le bas des fesse de Julie était zébré de partout par endroit il y avait des traces de sang. 

plus que 2 se dit Julie

Le bourreau prit son temps pour le deux derniers en faisant claqué son fouet sur le sol et le neuvième coups d'abattit, et enfin le dernier coups.

Il passa devant Julie pour déposer le fouet il pris un saut avec un liquide transparent, Julie pensa que c'était de l'eau pour nettoyer son dos, le bourreau prit une éponge et badigeonna le dos de Julie, elle comprit vite que cela n'était pas de l'eau mais de l'alcool à 90°C afin de cicatriser les blessures et éviter les infections diverse. Julie senti son dos en feu et hurla à travers le bâillon.
Le bourreau refit pivoter le dispositif ainsi Julie se retrouva face au publique, une fois l'appareil stabilisé le bourreau se mit face à Julie fouet à main. Ce coups ci Julie allait voir les coups venir

Le bourreau claqua son immense fouet par terre en regardant Julie avec un sourire sadique, et le premier coups tomba sur ces seins une belle trace traversé les seins on y devinait un petit écoulement de sang le deuxième suivit de peu, Julie pleurer toutes les larmes de son corps et des cris sourd sortait de son bâillon au 8ème coups elle tomba dans les pommes le gardien habitué stoppa le fouet et lui lanca un verre d'eau glacé au visage qui la fit revenir à elle. Il lui laissa le temps de reprendre ces esprits avant de lui infligé les 2 derniers coups.
le 9ème et 10 ème laissant les seins tuméfié et zébré de tout part ! de même il prit le seau et aspergea Julie d'alcool à 90°c ce qui rendait la douleur encore plus vive.


Il restait encore la dernière punition, il prit d'abord l'instrument de torture une cravache, une tige flexible avec au bout un petit morceau de cuir plat.
Le bourreau fit pivoter Julie verticalement et bascula le système de telle façon qu'elle avez la tête en bas et face au publique, il s'approcha de l'entre jambe et écartit légèrement le lèvres de son con déjà béant ! le bourreau recula d'un pas posa le bout de la cravache sur le sexe la leva et frappa violemment sur son sexe offert

"HHHHHHMMMMMM !!!" cria Julie 
le bourreau répéta plusieurs fois l'opération il place la cravache là ou il veut qu'elle claque et HOP un grand coups sec pas sang ce coups ci mais on voyez bien que le sexe avez gonflé et qu'il avait une couleur rougeâtre !
tout l'entrejambe y passa du trou du cul à clitoris.

Au 10 ème coups Julie n'était plus qu'une loque humaine deux gardiens la détacha et la prise par les épaules pour l'évacuer du tribunal.

Elle était à moitié consciente on là déposa dans une pièce sans lumière, une fois posé elle s'évanouit quasiment instantanément.

3 commentaires:

  1. superbe texte vive la suite
    pourquoi ne pas le publier sur FT ?

    RépondreSupprimer
  2. déjà publié en 2004.
    je poste que les nouveaux écrits

    RépondreSupprimer
  3. Très joli texte...Dommage que nous n'ayons pas la suite...

    RépondreSupprimer