dimanche 2 mai 2010

Humiliation au bureau - Intro

Humiliation au bureau 

Voici le début d'une nouvelle histoire en voici l'intro :)





Humiliation au bureau 

La Banque Forxknock est une grande société dans le centre de paris, ils occupent un grand immeuble avec pas moins de 1.000 salariés sur place.

Il s'agit de la banque la plus coté qui existe en terme de résultat mais aussi de salaire. Mais ce n'est pas la seul particularité, la société est géré par un homme Richard Knocks, ces apparitions en publique sont très rare et des rumeurs sur sa vie sexuel circulé, homosexuel, sadomasochiste... les secrétaires féminines et masculine changent souvent tous les mois. 
On dit que c'est un homme froid, il bouge très peu de l'étage 54 où il dirigé la société de façon totalitaire, à cette étage il y a aussi ses appartements privés.

En 2009, un grand changement a eu lieu dans la société avec la crise économique une délocalisation du siège social dans un pays avec une fiscalité moins contraignante a été annoncé en interne avec licenciement complet du siege de Paris. 

Mais un accord a été trouvé entre le personnel et la direction via un référendum interne

"La direction maintient son siège à Paris et n'effectuera aucun licenciement mais désormais le recours à des sanctions physique ou humiliations seront autorisés à tout moment et a n'importe quel motif par la direction" 

Le référendum assez spécial avait été organisé par le grand patron lui même, puisque les employés devait passer à l'étage 54 dans une cabine spécial. Si il était contre il devait montrer une petit pencarte "Non je suis contre, je démissionne" ou alors la personne devait se mettre entièrement nue et montrer une pancarte "oui je suis pour, je me soumets à la volonté de la Richard Knocks"

Apres l'adoption du décret, la direction avait le droit de recourir à des sanctions corporelles ou humiliations pour les personnes du siège. 

il pouvait s'agir :
- de fautes grave ou un manque de résultat 
- de demande d'augmentation
- de promotion
- d'entretient d'embauche 

Le poste de secrétaire du grand patron avait changé aussi en bonne (femme ou homme) à tout faire et esclave sexuel.

Bien sur les employés qui ont démissionné, on était remplacé par des personnes qui en plus du contrat de travail et la clause de punition corporel.

De plus tout les employés ont reçu un questionnaire spécial, Il y avait des questions très intime ainsi qu'une liste de punitions qu'il devait noté de 1 à 10. Il était indiqué que ce questionnaire fixé la nouvel rémunération et un score trop faible pouvait conduire à un renvoi ou un déclassement dans l'entreprise. 

Cela permettait au grand patron de trouvé les employés les plus apte à le divertir.

Les sanctions avait souvent lieu en public : salle de reunion, hall d'entrée, cafétéria mais parfois il s'agissait d'un tête à tête avec le patron. La décoration de certaines pièces et couloir ont été revu on trouvé souvent des fouets, martinet, paddle, cravache accrocher au mur. Dans la cafétéria un pilori a été installé. On trouvé des croix de saint André dans certaines salles de réunion.
Il y avait une exception à cette règle le rez de chaussé, ici tout était normal mais aucune personne étrangère à la société été autorisé dans les étages. un sas spécial avait été installé avec des gardes qui filtré les entrés aux ascenseurs et escalier.

et certaine pièce de l'étage 14, avait été aménagé en donjon, et même une mini prison avait installé.

Le vendredi été un jour assez particulier, la ou certaine société propose de venir en tenu décontracté la tenue du vendredi était assez particulière, le matin à 08h30 les employé recevait un mail du grand patron avec un debriefing de la semaine passé en terme de résultat mais aussi la particularité du mail était un dress code particulier ou plutôt un ordre de soumission. Par exemple, in vendredi il a fallu se promener dans les couloirs avec les deux mains sur la nuque, ou encore un autre vendredi être topless avec le badge accroché au sein droit et gare si quelqu'un était pris en respectant pas les règles, il devait passer le week end dans les cellules de l'étage 14.

à suivre... 

1 commentaire:

  1. Ce récit date de 2010 et je suis étonné qu'il n'y ait pas encore de réaction.
    Difficile de savoir si les faits sont vrais. A mon avis, tout est faut. Par contre, je suis à 100% favorable pour ce genre de discipline dans les entreprises.
    J'ai toujours pensé que les punitions devraient être destinées aux adultes, qui eux connaissent les règles de la vie, plutôt qu'aux enfants, qui eux sont en apprentissage de la vie.

    L'humiliation est une sanction très pénible pour un adulte, mais à mon sens, indispensable. Les punitions physiques peuvent exciter certains, mais à force, elles seront plus craintes qu'enviées.

    A murir !

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